On peut élever les enfants sans les frapper ni les humilier : c’est le message qu’a voulu faire passer le Sénat en adoptant au mois de mars, en première lecture, une proposition de loi visant à « lutter contre les violences éducatives ordinaires ».
Le texte porté par l’ex-ministre socialiste des Familles Laurence Rossignol, amendé par la commission des Lois, affirme que « l’autorité parentale s’exerce sans violence physique ou psychologique ».