Le Pôle Ressource Petite Enfance Le Petit Jardin propose aux familles un atelier sur la thématique « Chanter avec son bébé » dans les locaux de son Espace Accueil Enfants Parents (Studio Harmonie, route de Montfavet).
Découvrons ensemble le pouvoir du chant, sa musicalité qui précède et facilite le langage, la gestualité des comptines qui encourage les coordinations motrices et le plaisir de se rejoindre petits et grands au pays de l’imaginaire.
L’atelier sera animé par une psychomotricienne et une psychologue. Il se construira également autour des propositions des participants.
L’arrivée d’un bébé est toujours un moment particulier. Alimentation, ameublement ou encore hygiène, les recommandations pullulent pour aider les parents à faire le bon choix. Il reste néanmoins un secteur encore nébuleux sur lequel les familles font souvent l’impasse : l’habillement.
Quels dangers pour bébé ?
Lors de ses trois premières années de développement, le corps de l’enfant va assimiler un grand nombre de choses. Les mauvaises particules et la pollution en font malheureusement partie. Ce procédé s’appelle la bioaccumulation, ou le phénomène d’absorption et de concentration de substances chimiques présentes dans l’air et sur des surfaces dans l’organisme.
Or, un grand nombre de ces substances entrent dans la fabrication des vêtements qui seront directement en contact avec son épiderme. Teintures de synthèse, matériaux synthétiques, perles et paillettes ingérables et particules de métal sont autant de toxiques cachés auxquels on ne pense pas toujours quand on souhaite habiller son enfant.
Avec le mois d’octobre, s’annonce la Journée Nationale des Troubles Dyset plus largement des troubles spécifiques des apprentissages.
Samedi 8 octobre, la Maison Départementale des Personnes Handicapées de Vaucluse et tous ses partenaires institutionnels et associatifs (RésoDYS, AVITA, Parol 84, DFD 84…) vous donnent rendez-vous à la salle polyvalente de Montfavet (rue Félicien Florent).
AU PROGRAMME
> de 10h à 12h30 : table ronde Comment apprendre en 2022 ? avec des enseignants, médecin pédiatre, orthophonistes, psychologues, paramédicaux….
> de 14h30 à 17h : différents ateliers Comment j’aide mon enfant ? à destination des parents. Pour participer aux ateliers, il est nécessaire de s’inscrire dès son arrivée.
Comment j’aide mon enfant en lecture et en calcul ?
Comment j’aide mon enfant à apprendre ?
Comment j’aide mon enfant à se débrouiller au quotidien ?
Comment je reste positif et confiant avec mon enfant ?
> de 14h30 à 17h : forum Informations et Rencontres avec des professionnels et des associations spécialisées autour des troubles spécifiques des apprentissages.
Au même titre qu’une bonne alimentation, un sommeil de qualité permet d’assurer le bon développement, tant physique que psychique, des 0 à 18 ans. C’est la raison pour laquelle un manque de sommeil n’est pas sans conséquences sur la vie quotidienne et la santé de l’enfant et de l’adolescent. Il peut occasionner des troubles du comportement (agitation, irritabilité, sautes d’humeur…), multiplier les risques de développer une obésité ou un diabète et engendrer une baisse des défenses immunitaires.
Parce que bien souvent, disposer de la bonne information suffit pour retrouver rapidement une bonne hygiène de sommeil et éviter ainsi que des troubles – qui pourraient n’être que ponctuels – ne deviennent chroniques, le Réseau Morphée (réseau de santé consacré à la prise en charge des troubles du sommeil) a lancé son site de référence dédié au sommeil des 0 à 18 ans : https://sommeilenfant.reseau-morphee.fr/.
Découpé en trois parties (le Sommeil de Bébé, le Sommeil de l’Enfant et le Sommeil de l’Adolescent), ce site collaboratif fait intervenir des experts reconnus dans ce domaine. Il diffuse informations, bonnes pratiques et conseils, pour donner à tous (parents, jeunes, mais aussi enseignants ou infirmières scolaires) les clés qui favoriseront le retour à un sommeil serein et réparateur.
En complément, une aide personnalisée et anonyme est proposée grâce aux trois forums de discussion spécifiques, accessibles dès la page d’accueil du site. L’ensemble de son contenu rédactionnel est validé par un comité scientifique, composé de spécialistes venant de la France entière.
C’est chaud, non, d’essayer d’être écolo quand il y a Netflix et MacDo ? Arrêter la fast-fashion, l’avion, les déchets, la viande, sans culpabiliser, angoisser, ni s’ajouter trop de pression sur les épaules, c’est un défi que Maïté Robert relève au quotidien, avec plus ou moins de succès… Une démarche qu’elle raconte avec beaucoup d’autodérision et de finesse dans Procrastination écologique. Un album savoureux dans lequel tous ceux qui sont en « transition écologique » se reconnaîtront.
Un personnage passe-partout et très abordable
La principale force de l’ouvrage réside dans son personnage principal. L’autrice se met en scène elle-même, avec une autodérision et une bonne volonté qui font plaisir à lire et à voir. S’il est parfois difficile pour les individus d’avoir du recul sur leur propre situation, s’identifier à un personnage peut être un bon moyen d’y parvenir. Maïté, dans sa BD, est loin d’être parfaite mais, au delà de cela, elle l’assume. Elle désamorce, avec délicatesse et humour, la culpabilisation que l’on peut ressentir face à l’annonce de la catastrophe écologique. Elle éloigne l’urgence du « tout, partout, tout de suite », et montre plutôt le triomphe des victoires progressives.
Procrastination écologique est un ouvrage de bonne foi. Il nous permet d’admettre nos défauts, nos erreurs, et également notre mauvaise volonté sans nous culpabiliser. Bien sûr que l’on peut toujours faire mieux. Mais cela ne veut pas dire qu’il est facile de changer du tout au tout.
Le blog vous recommande cette BD sur les défis climatiques et vous propose d’en lire un extrait.
Le site des Chevalier du web aide les familles à prendre le contrôle sur leur consommation d’écrans.
Les Chevaliers du web sont soutenus par Jacques Brodeur, fondateur du « défi sans écrans » dans son pays d’origine, le Québec. Ancien professeur d’éducation sportive, c’est en 2003 qu’il lança le « défi sans écrans », soucieux de la question de l’impact de la télévision sur les enfants.
Les conseils et les défis des Chevalier du web rejoignent sa méthode originale.
Les intervenantes du site sont issues du milieu éducatif ou de la technologie numérique, elles connaissent bien leur sujet et adoptent une pédagogie bien spécifique pour transmettre le message aux enfants et aux parents. C’est une prévention avec un discours fiable, de qualité, où l’enfant se sent fier d’apprendre et de se responsabiliser face aux écrans.
Le blog vous recommande ce site et vous invite à le découvrir.
« Constituent un habitat indigne les locaux [… ] dont l’état, ou celui du bâtiment dans lequel ils sont situés, expose les occupants à des risques manifestes, pouvant porter atteinte à leur sécurité physique ou à leur santé. »
Le Pôle départemental de lutte contre l’habitat indigne (PDLHI) rassemble les acteurs publics luttant contre les situations d’habitats indignes.
Il met à disposition des vauclusiens un guichet unique. Signaler son cas au guichet unique c’est l’assurance d’être orienté vers le bon interlocuteur pour que votre situation soit traitée dans les meilleurs délais.
Vous pouvez faire ce signalement de 4 manières : par téléphone, par e-mail, en vous rendant à l’ADIL de Vaucluse ou en ligne.
Les P’tits Doudous sont un réseau national de plus de 106 associations locales animées par des professionnels de santé qui oeuvrent pour améliorer le vécu des enfants, des parents et des soignants à l’hôpital.
Notre mission est d’améliorer l’accueil et le bien-être des enfants opérés, de réduire leur anxiété par le jeu et le numérique avant l’opération chirurgicale.Pour cela, nous créons des actions innovantes pour dédramatiser le passage au bloc opératoire et nous offrons des cadeaux aux enfants opérés. Objectifs : diminuer la prémédication, les traumatismes post-opératoires et faciliter notre travail de soignants...
Notre ambition est de faire évoluer les pratiques de soins à l’hôpital grâce à l’écoute des besoins des patients par les soignants et d’améliorer les conditions de vie du personnel soignant. En donnant la possibilité aux soignants de proposer eux-mêmes des idées et des projets d’amélioration, en s’appuyant sur le numérique et sur le développement durable, nous les amenons à faire évoluer leurs pratiques. L’impact social de notre projet est donc important.
Le blog a remarqué pour vous les actions de cette association.
La Maison Départementale des Personnes Handicapées de Vaucluse et tous ses partenaires institutionnels et associatifs TEDAI84, Association Le Pas, Ari, Le Petit Jardin, Association La Bourguette… vous invitent à assister à cette matinée et échanger sur le thème de la parentalité.
Cette manifestation s’adresse aussi bien aux familles concernées qu’aux professionnels spécialisés ou non.
L’inscription n’est pas obligatoire, mais recommandée.